Les forêts congolaises ne produisent pas que des bois d’œuvres protégés. Elles produisent 8 % de tout le carbone des forets mondiales, qui contribuent non seulement à la production de l’oxygène, mais combattent également le réchauffement climatique en captant le carbone produit particulièrement par l’activité polluante humaine.
L’atmosphère terrestre est constituée de plusieurs gaz dont 0,003 % de dioxyde de carbone (CO2). Au-delà de cette teneur de CO2, il s’observe un réchauffement de la planète. C’est ce que nous vivons avec la pollution due au rejet dans l’atmosphère du CO2 produit par la combustion des énergies fossiles (pétrole, charbon, etc.).
En particulier, la forte utilisation de l’énergie fossile depuis la révolution industrielle, déversent d’énormes quantités du dioxyde de carbone (CO2), que les forêts congolaises, deuxième poumon de la planète, purifie en captant le carbone. En contrepartie, la RDC ne reçoit rien en retour… jusque-là !
Pourtant, les organes des Nations-Unies ainsi que la COP 21 ont instauré le principe pollueur-payeur dont les retombées échappent à la RDC bien que puissance écologique. Ainsi donc, le Gouvernement congolais se décide actuellement de mettre sur pied une institution pour réguler le marché de carbone en certifiant le carbone congolais.
Ainsi, avec cette institution, la RDC va s’affirmer comme puissance écologique mondiale.
Bokulaka Baende
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