L’organisation Greenpeace Afrique demande au Fonds Mondial pour la Conservation de la Nature (WWF) de présenter ses excuses aux survivants des abus des droits de l’homme attribués aux écogardes avec qui il a collaboré dans la conversation des sites protégés.
Cette recommandation fait suite au rapport des enquêteurs indépendants sur les allégations d’abus de droits de l’homme dans les projets de conservation initiés par WWF.
“Il n’y a plus d’excuses pour le modèle criminel de la conservation forteresse. Les écogardes financés, équipés par le WWF et avec lesquels le WWF a collaboré ont commis des crimes. L’enquête du WWF ne doit pas seulement aboutir à des excuses et des réparations aux victimes, mais à une sortie totale du modèle colonial de conservation forteresse qui opère au détriment des vies humaines.”, a déclaré Irène Wabiwa Betoko, chef de projet international pour la forêt du bassin du Congo, Greenpeace Afrique.
Dans ce rapport dénommé “Pillay rapport”, le panel d’enquêteurs indépendants indiquent également que les écogardes auraient commis des meurtres, Kidnapping, tortures, coups et blessures à l’encontre des populations riveraines et autochtones du parc national de Salonga.
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Auguy Mudiayi
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