La société civile environnementale et agro-rurale et l’ONG Congo Basin conservation society ont formé les jeunes du regroupement de Kamanyola,dans la plaine de la Ruzizi (Sud-Kivu) sur le développement du tourisme communautaire des hippopotames qui vivent dans la rivière Ruzizi.
Les deux organisations veulent faire de Kamanyola un lieu d’attraction touristique grâce aux hippopotames de la rivière Ruzizi et du Lac Tanganyika.
” Dans le cadre de mettre en place les stratégies de tourisme communautaire, c’est-à-dire il y a des sites à Kamanyola, où on trouve des familles des hippopotames et on capacite la jeunesse pour valoriser et promouvoir le tourisme communautaire. Que Kamanyola qui est en train de devenir une cité, soit une commune puisse aussi devenir une cité touristique au Sud-Kivu. Donc tout celui qui pourrait visiter Kamanyola, pourrait aussi visiter les hippopotames, pourrait visiter les monuments, pourrait visiter un barrage qui est en train d’être construit “, a dit Josué Aruna, Président de la société civile environnementale.
Et d’ajouter :
” C’est dans cette perspective que nous pensons au niveau de la société civile environnementale de créer de l’emploi au niveau de la jeunesse à partir du tourisme mais tourné autour de la conservation de la biodiversité notamment sur la présence des hippopotames au niveau de la Rivière Ruzizi”.
Ces jeunes ont reçu d’autres notions sur plusieurs aspects du tourisme écologique, la constitution d’un dossier judiciaire en cas de braconnage et comment suivre de près les mouvements des hippopotames.
A lire aussi :
Justin Mwamba
Le Vice-Premier ministre en charge de l'intérieur, de la Sécurité, de la Décentralisation et des Affaires coutumières, Jacquemain Shabani, a procéd
Le Monkeypox, également connu sous le nom de variole du singe, est une maladie virale qui a récemment attiré l'attention en raison de plusieurs cas
En République démocratique du Congo, le Président de la République Félix Tshisekedi a promulgué le 14 novembre dernier la loi p
La justice belge a condamné trois personnes à des peines allant jusqu’à 8 mois de prison ferme et à une amende allant jusqu’à 8 000€ pour avoir imp