La Vice-Premier ministre en charge de l’Environnement et Développement durable, Ève Bazaiba Masudi, plaide pour une participation active des communautés locales à la gestion du Parc marin des Mangroves. Elle l’a dit ce 26 juillet 2021 à l’occasion de la journée internationale de la conservation de mangroves.
Pour Ève Bazaïba, l’absence des communautés locales dans la gestion ne permet pas un contrôle efficace de l’accès et de l’utilisation de réserve de cette aire protégée.
“Je ne saurais terminer sans insister sur le fait que les systèmes de protection actuels du Parc Marin des Mangroves ne permettent pas un contrôle efficace de l’accès et de l’utilisation de la réserve, car les communautés locales ne participent pas activement à la prise des décisions de gestion de l’aire protégée. Aussi il s’observe l’inexistence de cadre de concertation entre les acteurs riverains et les gestionnaires de la réserve”, a déclaré la VPM en charge de l’Environnement et Développement durable.
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Le Parc marin des Mangroves fut créé en 1992. D’une superficie de 768 km2, il est située sur la rive nord de l’embouchure du Congo, à proximité des localités de Banana et Moanda (territoire de Moanda) dans la province du Kongo Central. Le Parc Marin des Mangroves fait partie des zones humides d’importance internationale et à ce titre il a été inscrit à la Convention Ramsar le 18 janvier 1996. Depuis le 11 avril 2000, le Parc est repris dans le un registre des Sites Ramsar dont les caractéristiques écologiques sont susceptibles de connaître des modifications.
Auguy Mudiayi
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