La République démocratique du Congo a désormais une nouvelle politique en matière des négociations sur la crise climatique. Elle se présente comme pays solution en fonction de ses potentiels forestiers et ressources naturelles qu’elle renferme et exige des compensations équitables.
Ces dernières viennent couronner les efforts du Gouvernement congolais à conserver ses ressources naturelles au profit du monde.
Pour la Vice-Première ministre en charge de l’Environnement et Développement durable, Eve Bazaiba explique ces compassassions doivent quitter l’étape de l’aide au développement pour passer aux investissements solides pour le développement de la RDC. Parce que les compensations ne sont pas un don mais plutôt un droit, clame-t-elle.
« La position principale de la RDC était d’aller à la concrétisation, penser aux compassassions équitables. Comme toujours, la RDC se présente désormais comme un pays solution à tout ce qu’il y a comme enjeux du climat vu les potentiels forestiers, les ressources hydrauliques, les minerais stratégiques et tous les restes. Si nous devons les conserver pour nous-mêmes et au besoin de l’humanité, ce sacrifices méritent une compensations lesquelles doit quitter l’étape des projets de l’aide au développement parce que ce n’est pas un don mais un droit. On ne peut pas développer un pays avec des aides humanitaires mais bien plutôt avec des investissements solides. Nous, notre objectif c’est de transformer les potentiels naturels de la RDC en richesses qui doivent amener le pays au développement parce que nous sommes dans l’agenda d’ici 2030 pour l’atteinte des objectifs du développement et en même temps nous avons des engagements au niveau de l’Afrique d’ici 2060», a expliqué Eve Bazaiba dans la restitution de ses différentes missions effectuées en Europe.
La République démocratique du Congo détient plus de 60% des forêts du Bassin du Congo, l’un des plus grands poumons dans la recherche des solutions au dérèglement climatique.
Malheureusement, les pays du bassin du Congo ne reçoivent que moins de 2% des financements mondiaux pour le climat.
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